De combien de météorologues a-t-on besoin, exactement?
Ne peuvent-ils pas juste, au fond, répéter l’information d’un concurrent?
Quand ces employés s’enferment dans leur bureau, le matin, qu’est-ce qui les empêche de prendre l’information sur Internet, puis sortir par la fenêtre et aller au cinéma?
Rassurons-nous, je ne vais pas m’étendre sur leurs prédictions souvent incorrectes.
Oh, il y a sûrement un météorologue, quelque part, qui travaille bien fort pour analyser les résultats, que tous les autres vautours s’accaparent ensuite.
Mais il me semble, et corrigez-moi si je m’égare, qu’on n’a qu’à regarder l’image satellite des nuages qui avancent, non? C’est ce qu’ils nous expliquent dans les médias depuis des années, à quel point c’est simple, vous voyez, vous comprenez, les nuages s’en vont par là.
Ils nous enseignent naïvement leur « métier », ainsi, un jour, n’importe quel quidam pourra les remplacer.
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Je verrai plus les gens au cinéma l'aprèm' de la même manière. Des météorologues qui se sont sauvé, donc.
RépondreSupprimerB
Tous, sans exception.
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